Il vaut probablement la peine d'ajouter une «perspective» historique (et ironique) à cette question. Cela expliquera probablement que même sans recherche scientifique, la réponse à cette question est probablement «non» et que l'utilisation réelle du savon bactérien devrait probablement être réduite aux milieux hospitaliers et non étendue aux ménages comme le suggèrent les promotions et les publicités.
La perspective historique que je voulais ajouter concerne le livre "L'Ermite du jardin" de Gordon Campbell. Ici sont décrits des ermites vivants (il y en avait aussi des non-vivants, c'est pourquoi je les appelle «vivants»). Campbell cite un autre livre - "Sir William Gell's A Tour in the Lakes Made in 1797":
"l'ermite ne doit jamais quitter les lieux, ni converser avec qui que ce soit pendant sept ans au cours de laquelle il ne doit ni se laver ni se nettoyer de quelque manière que ce soit , mais laisser pousser ses cheveux et ses ongles sur les mains et les pieds aussi longtemps que la nature le permet. "
À partir de cette description de "travail", nous pouvons spéculer que des infections "dangereuses" n'étaient pas attendues pendant une si longue période de vie sans soif. C'est pourquoi nous pourrions supposer que tout savon a probablement une valeur "antibactérienne" limitée pour une personne par ailleurs en bonne santé.
(Remarque: Cette "exclamation" n'essaie pas de répondre à la question de manière scientifique, mais juste d'ajouter de la "couleur" à la question et aux réponses publiées. J'espère que cela vaut la peine de la placer ici au lieu d'un commentaire).